Nicolas Lavarenne

Une œuvre en mouvement…

Né en 1953, Nicolas Lavarenne grandit à Nice bercé par les conversations autour de l’art émanant de l’atelier de son père.

En 1973, en parallèle de ses études en fabrication mécanique, il construit de toute pièce une moto qui sera ensuite homologuée.
En 1978, après quelques années d’errance, il se met à son compte et fait ses premiers pas dans la sculpture ornementale, et se sent enfin à sa place… dans l’atelier.

Après avoir passé l’été 1984 à travailler un bloc de bois pour « libérer » deux corps d’acrobates suspendus, sa première sculpture voit le jour. Celle-ci lui décroche directement une exposition et représentation par une galerie . Cette sculpture sera d’ailleurs primée par le public l’année suivante par l’UMAM à Nice.

En 1987, ses oeuvres sont exposées à NYC puis à Los Angeles et c’est aussi les premiers essais en bronze. En 1988, Nicolas sculpte « l enragé », son ultime sculpture en bois. Cette pièce suspendue dans un tétraèdre laisse entrevoir le thème des échasses et des corps suspendus en mouvement.

1991, « le Guetteur », un personnage juché sur son tripode, regarde enfin vers « l’à venir ». C’est aussi l’année de la rencontre avec Marc Massa, son fondeur depuis lors.

1993, première commande de pièces monumentales, destinées à l’Angleterre. L’année suivante, les premières expositions personnelles à l’étranger débutent.
En 1995, La ville de Menton acquiert une sculpture monumentale de Nicolas Lavarenne. Cette année là, il installe son atelier en Haute Savoie et continuera ses aller-retour dans le sud pour sa famille, amis et la fonderie.
En 1996, la ville de Sion en Suisse commande le « Grand Passeur », à l’occasion d’une exposition urbaine.

En 1997, Nicolas Lavarenne expose en Angleterre, puis au Danemark où le prince Henri du Danemark fait l’acquisition d’une pièce qu’il installe au milieu d’un étang pour le château de Marselisberg.

L’année suivante, Divonne-les-Bains ainsi que Mooseedorf acquièrent elles aussi des pièces monumentales pour leur collections publiques et Nicolas réalise son premier catalogue.

1999, Nicolas Lavarenne reçoit le prix du public de l’exposition urbaine « Sous le Soleil d’Antibes » et expose à Beyrouth. L’année 2001 sera marquée par l’installation chez des collectionneurs de pièces monumentales à Boston et NYC.

En 2007, c’est au Conseil général des Alpes Maritimes de le mettre à l’honneur et d’acquérir une sculpture monumentale qui sera installée à Roure, dominant la vallée de la Tinée et le parc du Mercantour.

Aujourd’hui, Nicolas Lavarenne rétablit son atelier dans le sud de la France.

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